Monsieur André JURENIL de son vrai nom Julien RENARD, est né à Roubaix en 1867. Il arrive à Denain en 1879 où il décède en 1954. Il effectue sa carrière professionnelle à la société des Hauts fourneaux (futur USINOR). Homme de lettres et historien locale, il est surtout connu pour son oeuvre monumentale Denain et l'ostrevant, 3 tomes d'une grande valeur historique. Cette page est avant tout un hommage à ce grand personnage qui contribua à perpetuer la mémoire de nos contrées. Les lignes qui vont suivre sont issus de l'ouvrage "Histoire de la Franche Ville d'Haspres - Tome Second - Charles Laurent Canonne" que Monsieur JURENIL préfaça.
Il y a longtemps que je me suis rendu à Haspres pour la première fois. Mon voyage n'avait d'autre motif que ma ferveur extrême pour les souvenirs du Passé. Je m'attendais à voir surgir à chaque pas, dans ce bourg dont l'histoire est mouvementée et mystérieuse, des images émouvantes. Je savais que c'était là que, dès l'approche des Normands au IX° siècle, les moines de l'abbaye de Jumièges, située près de Rouen, avaient apporté en hâte les reliques de Saint Achard et de Saint Hugues. On m'avait dit qu'il restait des vestiges de fortifications qui attestaient l'importance de cette "Franche Ville" au Moyen Age et lors de la Renaissance. Par la pensée, je m'apprêtais à revoir les foules pieusement confiantes se dirigeant sur Haspres pour y trouver la guérison non seulement de certaines maladies graves, mais aussi des plus simples et des plus prosaïques migraines. Comme souvenir remis aujourd'hui encore aux pélerins, ne voit-on pas une image portant cette invocation très explicite : "Saint Hugues et Saint Achaire, délivrez nous de nos maux de tête" ?
Quel sentiment allais je éprouver en contemplant ces lieux où il s'était passé tant de choses . C'était donc là que tout homme "insensible" ou "battu de la maladie de Monsieur Saint Acquarre" était envoyé "à intencion de alegier et estre garis de sa maladie" ! Que le spectacle du être étrange lorsque, au temps de la folie de Charles VI, on envoya au monastère d'Haspres l'image de cire, "en forme de roi", représentant le monarque insensé ! Les reliques qui devaient assurer la guérison n'étaient justement plus dans la ville d'Haspres; et il fallut que le groupe des pélerins se dirigeât vers Avesnes le Sec, où les corps saints avaient été transférés pour éviter de nouveaux dangers suscités par les passages continuels de guerriers.
Il ne faut pas croire que l'auteur de cette statue de cire ait voulu "attraper la ressemblance" pour donner ainsi au malheureux monarque plus de chance d'être guéri ! M. Arnold Van Gennep, qui étudie de si près le folklore des diverses provinces, n'a t'il pas dit que cette image de cire ne ressemblait probablement au roi que par le costume ? N'a t'il pas examiné à Bruges, par exemple, et dans d'autres lieux de pélerinages belges, des ex voto "en forme d'hommes" ? Le musée de folklore d'Anvers en possède une collection."
J'ai remarqué à diverses reprises, dans les Grandes Chroniques de France, le nom bizarre d'Haspres, où l'on soulageait les "acariâtres". Quels étaient les vestiges existants de toute cette époque où l'on voyait les princes arriver en ce lieu, avant toute expédition guerrière, pour implorer probablement le succès de leurs armes ? Leurs présents avaient fortement enrichi la Prévôté, et il en était même survenu des inconvénients qui avaient provoqué les interventions de l'autorité religieuse. Mais, à côté de ces beuax jours illustrés par les largesses des seigneurs fortunés, combien de fois aussi la franche ville d'Haspres avait été pillée! Elle devait en avoir l'habitude; car il n'était pas de troupes - ennemies ou amies - que ne crussent devoir obligatorirement mettre Haspres à contribution à chacun de leurs nombruex passages dans toute cette région secouée incessamment par les luttes et les escarmouches.
Il allait donc m'être donné de voir ce diverticulum, situé assez près de la chaussée romaine de Bavay à Cambrai, qui facilita le passage de tant de personnage illustre et de soudards obscurs... De tout temps, l'homme habita, sur les bords de la Selle, ces vallonnements dont les apérités ont peut être donné ensuite un nom d'origine latine au village ou au campement installé là depuis les temps préhistoriques. Comme le pays aurait été plus riche encore en trouvailles archéologiques si, plutôt que de laisser trop souvent aux seuls hasards de la vie agricole l'apparition de silex taillés, des médailles d'or gauloises et des vases gallo romains aux délicats ornements, on eût pu fouiller méthodiquement le terrain ! Jetait on encore des épingles dans la source consacrée à Saint Achaire ? il était resté sûrement quelque chose de cette vieille coutume, puisque, le jeudi de l'Ascension, la compagnie des canonniers d'Haspres, dont le renom est légendaire dans toute la contrée, va encore tirer des coups de fusil dans l'eau de la "sainte fontaine", entourée de pierres comme un château fort.
On prétend que ce feu de salve tiré dans la fontaine ne doit pas être considéré, si l'on peut dire ! comme un simple coup d'épée dans l'eau, mais possède une influence certaine sur le mouvement des pluies pendant le reste de l'année ! En tout cas, l'influence sur le mouvement de l'eau de la fontaine, aussitôt après le déclic bruyant des armes, est absolument certaine....
Allais je voir les débris de ces glorieux canons traînés autrefois en procession solennelle par les illustres canonniers sédentaires ? Ces instruments de guerre portaient des noms patois, c'est à dire nettement français, qui défraient encore les conversations des pays avoisinants; "Gros Jehan, Buque Fort et Faut-i qu' j'y voche ?" Les velléités d'immobilité révélées par l'appellation du dernier canon "Faut il que j'y aille ?" ne sont très cetainement dues qu'au poids considérable de ce personnage remarquable et remarqué.
La chaussée séculaire ne forme plus qu'une assez étroite rue se confondant avec la Grand'Place dans la traversée du village. Comment ! c'est sur ce chemin étriqué, qui s'agrémente d'un petit pont à l'emplacement où il y avait, au temps des romains, un gué de la Selle, que passèrent, en grand arroi, les plus grands personnages de l'Histoire : Louis XI, Charles Quint, François I°, Louis XIV ?.... La configuration du terrain fait bien voir que ce fut surtout pour des causes économiques et politiques que toute cette partie de terrain, séparée de la plaine d'Ostrevant par l'Escaut, fut rattachée plus tard à ce vieux comté dont la possession resta si longtemps incertaine ! Géologiquement, toutefois, l'Ostrevant peut revendiquer la région d'Haspres.
....Mais me voici au coeur d'Haspres. La Selle qui, plus loin, dans la campagne, par ses allures aimables et sinueuses, ne manque pas de poésie, me fait songer à la Voulzie... A mon arrivée dans le bourg silencieux, ce dimanche là je remarquai quelle importance il avait eue autrefois, comparativement surtout à toutes les communes voisines. Haspres battait alors le record comme nombre d'habitants et dépassait Denain, qui, au contraire, ne cessa de prospérer et en compte actuellement près de 28 000. Haspres paraissait devoir dominer Denain à jamais. J'y constate aussi la solidité des habitations et la multiplicité des grandes ouvertures cintrées qui, sur les façades des maisons, correspondent à ces caves où l'on travaille toujours les fines toiles. Les "mulquiniers" de jadis ont laissé des descendants dont la production reste soignée et recherchée.
Quoi, c'est ici, sur cette mince bande de terre, que presque toutes les armées d'invasion passèrent ! Quel silence, maintenant, après le vacarme de toutes ces armes !
Oui, sur cet espace de terre où circulent les passants oublieux, le terrible Vignolles, surnommé la Hire, le compagnon de Jeanne d'Arc, vint en 1433, la grande héroïne n'était déjà plus que cendres, brûler les maisons et se livrer à un de ces pillages en règle qui faisaient toujours "moult grande playe" au pays où s'aventuraient des soldats dressés à ce genre d'exploits.
Mais de délicieux faits peuvent être évoqués également.
Tenez ! c'est à cet endroit que, lors de son "voyage de propagande" dans les Pays Bas, l'intelligente, fine et séduisante Marguerite de Valois, reine de Navarre, qui arrivait dans une riche litière, fut reçue par le comte de Lalaing et le tout jeune Sire d'Inchy, partis au devant d'elle avec deux cents cavaliers. Sûrement, dès qu'elle parut, le visage du jouveneau ému dut rappeler, par sa teinte, "le velour incarnat d'Espagne" dont, selon la chronique, était doublé l'habit d'or et de soie qu'il avait revêtu pour être plus éblouissant en cette galante circonstance.
Cependant, je veux voir les fortifications, et je les découvre : cette éminence de terre est semblable à un tumulus qui symbolise le passé muet et ne révèle rien de ses souvenirs. Je veux surtout contempler la prévôté, où vivaient les moines noirs. La voici; mais je la distingue mal. Elle forme l'arrière partie d'une grande cour de ferme, et l'ancienne construction est masquée par une large porte de fer implacablement fermée. O clio ! Muse de l'Histoire, donne moi l'audace nécessaire d'entrer en ce lieu....
Clio intervient, et j'entre dans la cour. Aussitôt, sur un perron en assez haute surélévation, une servante farouche, gardienne fidèle et scrupuleuse, se montre, un essuie main au bout du bras agité. Elle prend une attitude de défense, et je vois bien que le linge qu'elle brandit est une indication de menace à mon égard, une invitation à rétrograder. Jamais demeure fut elle aussi bien gardée ? Le bras ne s'abaissera qu'après mon départ. O dévouement inné des serviteurs d'autrefois !
J'essaie de donner quelques explications. Je sollicite l'autorisation d'examiner le grand bâtiment de la prévôté. Tout est inutile : je n'aurait nulle réponse. La situation est embarrassante. Mais une vois secrète, celle de Clio, m'inspire, et j'admire les beaux vestiges de cette vaste demeure. Car, en somme, l'image que donna Simon le Boucq du refuge que possédait la Prévôté d'Haspres en la bonne ville de Valenciennes, avec son beffroi byzantin et ses pignons à redents, m'avait fait comprendre que la maison d'Haspres devait être remarquable aussi.
Je n'ai pas à m'étonner de l'accueil qui m'a été fait. N'ai je pas eu affaire, naguère, à une cabaretière à Bruges à qui je demandais le chemin du Lac d'Amour ? Elle me dissuada vivement de m'y rendre : "Je suis née à Bruges, et je n'ai jamais rien remarqué d'interssant à ce Lac d'Amour"
Quelques temps après ma visite imparfait de la Prévôté, j'eus l'occasion d'entendre parler d'Haspres et de son histoire. C'était dans l'ancienne capitale de la Nervie, Bavay, où flottent mille et mille souvenirs gallo romains. On réinaugurait, après la guerre, le Musée d'archéologie qu'avait fondé autrefois, en compagnie de M.Maurice Hénault, prospecteur de Bavay, mon ami le poète et conteur Léon Delmotte. Des personnages considérables étaient venus. L'institut était représenté. Je ne crois pas que ces Messieurs aient jamais vu ailleurs une pluie aussi épaisse et persistante. Car le vers de Robert de la Villehervé reste éternellement vrai : "Il pleut, il pleut, il pleut sur les archéologues".
Parmi les congressistes, se trouvait M. Charles Laurent Canonne, qui avait déjà donné au Musée de L'Hôtel de Ville de Valenciennes toute une collection de poteries et d'objets anciens trouvés au cours des fouilles pratiquées par ses soins dans certains terrains de la vieille cité franche d'Haspres, son lieu natal. J'appris qu'il avait rassemblé de nombreux matériaux pour écrire l'histoire de la Prévôté et de la ville d'Haspres.
C'est encore quelques années ensuite que les membres du "Cercle archéologique et Historique de Valenciennes" se rendirent à Haspres même pour examiner les vestiges de toute cette vie disparue. Je ne pouvais manquer de vouloir participer à cette excursion.
Naturellement il pleuvait. Ah ! ce fut une authentique séance de véritable archéologie !
M. Charles Laurent était chargé de nous guider. Déjà agé et vieilli, il se dévoua autant que les forces le lui permettaient. Je revis donc la Prévôté, ses sculptures et aussi son perron surélevé. Cette fois, l'accueil fut aimable, et l'autre côté du batiement de la Prévôté, avec ses teintes roses, me fit penser aux beaux vers de Gérard de Nerval : "Un coteau vert que le couchant jaunit. Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs."
Mais le couchant ne jaunit pas, ce soir là, les vallonnements avoisinants, sur lesquels, conformément au rite ne révèlent pas à l'avance les programmes de réjouissances archéologiques, la pluis tombait sous forme d'averses incessantes, presque aussi denses qu'à Bavay.
J'entrai, dès ce jour, plus complètement en relations avec M. Charles Laurent. Malheureusement, sa maladie persistait, et, s'il avait rassemblé de multiples notes, il ne les avait pas classées et rédigées encore en vue d'une publication qu'il avait toujours retardée. Il ne s'était jamais préssé, sachant probablement que, lorsque l'on retrouve, chez des amis ou, surtout, chez des parents, quelque livre d'histoire dont on est l'auteur, les pages n'en sont jamais coupées. Il est vrai que nous avons beaucoup à faire, et nos ennuyeuses lignes de prose archéologique, principalement quand aucune anecdote ne les anime, paraissent écrites pour inspirer la crainte du passé.
Quand on aura trouvé le moyen de rendre l'archéologie souriante, cette science sera sauvée et deviendra vulgarisable. Nous n'y sommes probablement pas encore. Ce n'est pas avec de mornes descriptions de ruines, de bastions que nous attirerons les éventuels lecteurs....
Il est vrai que M. Charles Laurent n'était pas un archéologue comme les autres. Il avait mieux que les livres, puisqu'il était le propriétaire de certaines bâtisses dont il voulait donner l'histoire. C'est ainsi qu'il possédait l'abbaye féminine du XIII° siècle, avec son portail ogival en pierres blanches de grès.
Mais au cours de sa vie, M. Charles Laurent n'avait pas hésité à noter, même par le dessin et l'aquarelle, les aspects de son bourg, les vues de souterrains.... Il avait traité par l'image les objets directement rattachés à sa contrée. Ses recherches furent vraiment méritoires.
Il fut ainsi plus nettement décidé de publier l'histoire d'Haspres lorsque l'état de santé de M. Charles Laurent inspira les inquiétudes. Son petit-fils, M. Georges Delbart-Laurent, déblaya les documents; mais il fallait agir trop vite, et la présentation du premier volume, imprimé en 1934, ne pouvait satisfaire celui qui avait entrepris de mettre de l'ordre dans toutes ces notes éparses. Et puis, quand on crut pouvoir enfin porter à l'auteur sous la forme imprimée, le texte des matériaux qu'il avait accumulés pendant beaucoup d'année, la malchance s'en mêla, et le livre hélas ! ne fut prêt que le jour des obsèques de M. Charles Laurent. Tout au moins, l'auteur avait il eu la persuasion de savoir que son Histoire d'Haspres ne disparaîtrait pas, puisque les premières épreuces imprimées lui avaient été communiquées.
....Voici donc le second livre de cette Histoire. On sait ce qu'il y manque : il aurait fallu, dès le premier tome, rattacher les faits à l'histoire politique du pays. Les faits d'histoire, collectionnés un peu à la façon de timbres poste dans un album, sans commentaires ni éclaircissements, sont insuffisants. Il faut une liaison, une coordination ; elle n'est que trop vaguement esquissée dans les deux livres, qui auront néanmoins l'avantage de servir d'aide mémoire aux personnes de la région qui s'intéressent au Passé, source d'enseignements que devaient meiux connaitre les peuples.
Un autre inconvénient se présentait aussi... Car l'histoire d'un coin de terre n'est pas sans danger.... Le mélange, dans les notes de M. Charles Laurent, de divers petis faits, ainsi que le rappel de certains noms locaux, pouvait difficilement voisiner avec la grande Histoire. On peut y rencontrer le ridicule. Les menues choses, qui ont à peine de l'intérêt pour les gens de la région, ne sont que verbiage pour les autres lecteurs, et c'est pourquoi M.Georges Delbart a cru devoir séparer le recit ou l'exposé de certains faits qui ne cadraient guère avec l'Histoire proprement dite, dont les principaux faits ont cependant été accomplis par tous les humbles dont on ne parle pas.
Quand on regarde symboliquement le Passé, on peut le voir, peut être, sous la forme d'une cavalcade variée, très bariolée, qui s'avance sur les routes. On parlera surtout ensuite des beaux seigneurs, des princes, des chefs. La foule, qui constitue cependant la partie la plus compacte et agissante, ne peut être citée en détail. Pour l'avenir, l'image de l'histoire présente, qui sera devenue le Passé, ne se présentera probablement plus aux imaginations que sous la forme d'automobiles, pacifiques... ou guerrières; mails ine ne sera pas plus commode d'en faire la description.
M.Georges Delbart a donc dissocié spontanément, pour les classer à part dans le second tome plus proche de notre époque, tous les faits ou souvenirs qui lui paraissaient trop intimes. C'est ce qui compose son prologue. Les grands événements sont détaillés ailleurs. Ils constituent l'Histoire proprement dite, qui, pour Haspres, se résume constamment en incendies et en pillages. On voudrait que les histoires de l'avenir eussent d'autres faits plus réjouissants à conter .....
Mais voyez le miracle ! Toute cette partie, mise sur un autre plan par M. Georges Delbart, renferme des petits faits qui renseignent parfaitement le lecteur sur certaines particularités régionales ou autres. On y voit le nom de Louvois; Fénelon surgit, figure fine, pensive et généreuse; et l'on voit même apparaître, aux jours de la révolution, une fille du Marquis de Maintenon, qui met au monde, à Haspres, une fillette promise à quelles destinées ? C'est, en raccourci, l'histoire des "hauts et des bas" tels que les connaît l'Humanité depuis les premiers âges.
En somme, les faits de l'Histoire, même secondaires, peuvent souvent être interessants; mais faut il que le lecteur bienveillant consente à lire surtout entre les lignes.
De toute façon, le travail de M. Charles Laurent Canonne n'aura pas été perdu. C'est ce que l'on voulait obtenir, et cette pensée fera oublier les imperfections d'un ouvrage qui aura néanmoins le mérite d'avoir reflété le visage d'un gros bourg et d'une prévôté pendant plus de mille ans.
Le goût de l'Histoire est, en somme, un sentiment louable, quand il est sincère et complet. Il renferme une sûre affection pour certaines choses qui n'ont laissé parfois que peu de traces. On en retire des avantages moraux et intellectuels. L'histoire locale éveille la curiosité, puisqu'elle a besoin d'être expliquée par des développements de caractère général, ou, tout au moins, national. L'histoire de la patrie entraîne la nécessité de regarder plus près la Grande Patrie.
MERCI Monsieur JURENIL pour l'ensemble de votre oeuvre.
Sources utilisées : Préface tome second de l'Histoire de la franche Ville d'Haspres de M. Charles Laurent Canonne.